Transition énergétique, accroissement de la population urbaine, évolution de la réglementation… Le secteur du transport fait face à des problématiques de fond et doit se réinventer pour y répondre.
Si la voiture thermique était considérée comme la principale solution individuelle de déplacement, elle est de plus en plus délaissée au profits de mobilités douces, moins carbonées, et partagées. L’Etat joue un rôle pivot dans cette transition, à travers l’évolution des réglementations, tandis que les gestionnaires d’infrastructures doivent s’adapter efficacement à la demande de plus en en plus forte.
Jusqu’à présent, les actions menées en faveur de la TECV étaient plutôt des restrictions : interdiction de rouler en ZFE (Zones à Faibles Émissions) pour les Crit’Air 5 (voire 4 bientôt), malus écologiques appliqués à l’acquisition de véhicules, limites d’émission de CO2 pour les constructeurs automobiles… Dernièrement, la Loi d’Orientation Mobilités de 2019 (LOM) a également posé une nouvelle contrainte aux flottes d’entreprises en obligeant, dès 2022, un quota de 10% de véhicules propres dans tout renouvellement.
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